• La MDPH (maison départementale des personnes handicapées)

Vous pouvez faire une demande de AEEH (allocation d’éducation enfant handicapé) ou PCH (prestation de compensation du handicap).
Pour cela, vous devez constituer un dossier avec le formulaire, le certificat médical et le GEVASCO. Il doit être ensuite adressé à la MDPH du lieu de votre résidence avec les comptes rendus des bilans médicaux et paramédicaux. La MDPH transmet alors la demande à la commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH), chargée d’instruire le dossier. La durée instruction du dossier est d’environ 6-8 mois (durée pouvant varier selon les MDPH).

Le montant alloué pour AEEH de base est de 142.70€/mois. Ce montant peut être majoré en cas de complément d’AEEH (249,72€ à 1 353,60€) ou d’une majoration parent isolé (57,97€ à 77,15€).

• La Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM)

Faire une demande de «prestation sociale exceptionnelle » ; ou faire une demande de fond d’action sociale.

• Les Mutuelles

Certaines mutuelles peuvent prendre en charge une partie du coût des séances ou du bilan sous forme de forfait inclus dans votre contrat. Pour cela, n’hésitez pas à contacter vos mutuelles. Travail en cours de listing des mutuelles qui remboursent l’ergothérapie.

• Les PCO (Plateforme de Coordination et d’Orientation)

Il existe de type de plateforme : 0-6 ans et 7-12 ans à destination des enfants présentant une suspicion de trouble du neurodéveloppement (TSA, TDAH, troubles des apprentissages …). Ces plateformes participer au financement du bilan à hauteur de 140€ et de 38€ par séance.

• Neurodys PACA (Résodys)

Il s’agit d’une association regroupant un ensemble de dispositifs spécialisés dans le diagnostic et la prise en charge des troubles de l’apprentissage et du neurodéveloppement. Il finance comme la PCO, à hauteur de 140€ pour un bilan et 38€ par séance.

• Les Comités d’entreprises

Quelques comités d’entreprise (notamment dans les grands groupes) possèdent des fonds dans le cadre de leur service d’action sociale, pour les soins dits « coûteux » car non remboursés, sous condition d’acception du dossier de demande de financement en commission.